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Re: Lol le 100 ? tournoi..
Publié:
21 juil. 2008 23:10
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Tards c'est de la merde. Ils censurent toutes les parties. La consanguinité ça ne donne jamais rien de bon.
Je copie colle ci-dessous l'article de Wikipedia ad-hoc
Consanguinité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, RechercherLa consanguinité est la parenté entre deux personnes (ou plus généralement deux êtres vivants), ou à l'intérieur d'une population (même espèce).
Concept d'abord empirique et lié à l'élevage, ainsi qu'à certaines pratiques matrimoniales, il a été formalisé par la génétique avec la découverte des supports matériels de l'hérédité.
Il a été ensuite étendu, ce qui a conduit au concept de biodiversité, qui ne s'applique pas à une espèce mais à l'ensemble de la biosphère.
Sommaire [masquer] 1 Définition et mesure 2 Croyances et réalités 3 Etudes scientifiques sur la population des Hautes-Pyrénées 4 Liens externes
Définition et mesure [modifier] La consanguinité entre deux individus (personnes ou animaux) se définit comme la proportion d'allèles identiques par descendance. C'est donc un nombre compris entre 0 et 1, souvent exprimé en pourcentage. Notez qu'il est bien question d'allèles et non de gènes : l'homme possèdant déjà entre 98,4 % et 98,6 % de ses gènes en commun avec le chimpanzé, un pourcentage sur les gènes serait à peu près inexploitable.
Deux clones, deux vrais jumeaux sont parfaitement consanguins (100%). Ils ne sont pas pour autant identiques : les empreintes digitales de jumeaux diffèrent, les pelages de chats ou de bovins clonés aussi, etc.
La consanguinité de parent à enfant, en supposant une consanguinité nulle (cas d'école impossible en pratique ) entre les deux parents, est de 25% (réf. lien externe: Calcul du coefficient de consanguinité par la méthode des chemins ). En effet, l'enfant partage dans ce cas la moitié de ses chromosomes (ou plus exactement de ses allèles avec chacun de ses parents.
La consanguinité de ces enfants entre eux est la même que celle vis-à-vis de leur parents. Cela implique qu'un enfant d'un accouplement entre frère et s?ur a le même degré de consanguinité qu'un enfant d'un accouplement entre parent et enfant. La multiplication de ce type d'accouplement conduirait rapidement, sans l'apparition aléatoire de mutation parfois significative, à une consanguinité de 100%, c?est-à-dire à un clonage avec un unique allèle pour chaque caractère non sexuel (il resterait toujours la différence entre les chromosomes sexuels, X et Y). Mais, inversement, il suffit d'un seul accouplement exogame pour faire immédiatement tomber la consanguinité à 0%
On peut également définir, sur cette base, une consanguinité moyenne dans une population, comme la moyenne des consanguinités. Elle dépendra du nombre de variantes (allèles) du même gène qui sont disponibles dans la population, et donc du nombre d'ancêtres différents qui ont fondé la population considérée et du taux de mutation depuis cette fondation.
Croyances et réalités [modifier] Au XIXe siècle des écrivains expliquent la tare héréditaire ou congénitale par l'influence néfaste d'une consanguinité importante (considéré comme un facteur explicatif de décadence par exemple dans des familles royales et peut-être justificatif de la nécessité de leur disparition et par là des révolutions).
La consanguinité était également la règle des sociétés rurales, voire de toutes les sociétés humaines, par la difficulté matérielle qu'il y avait à chercher femme ailleurs. La terre n'aurait pu par ailleurs porter le nombre d'ancêtres théoriques qu'a chaque individu, soit plus d'un milliard d'ancêtres théoriques à la trentième génération aux alentours de l'an mil.
Certes, il est incontestable que la procréation consanguine concentre certaines caractéristiques génétiques défavorables.
Etudes scientifiques sur la population des Hautes-Pyrénées [modifier] En 2002, une étude fut menée sur les populations rurales des Hautes-Pyrénées (France). Cette étude dirigée par le CNRS avait la particularité de regrouper des scientifiques mais aussi des historiens, des anthropologues et des sociologues. Les sociétés ou instituts suivants furent impliqués dans les investigations: la société des généticiens (spécialisés sur les mutations dans l'histoire des allèles), la société des historiens des Hautes-Pyrénées, l'institut de la sociologie des Hautes-Pyrénées et enfin l'institut de l'anthropologie du Midi-Pyrénées. Cette étude visait notamment à retracer les flux migratoires ruraux de la zone et les interactions des individus dans un milieu isolé, c'est à dire loin des courants migratoires favorables à une diversité bio-culturelle. Étaient visées également l'influence du regroupement de ces habitants sur une période donnée (analyse tant historique que sociologique) et les altérations génétiques qui en découlaient.
Les analyses de cette enquêtes furent publiées lors du dernier trimestre 2005, notamment dans la revue Genômes et Cahiers français des études anthropologiques. Les résultats et les interprétations publiés montrent une forte concentration de problèmes liés à la consanguinité au sein des communes rurales du département avec des effets plus ou moins prononcés. Cela touche 80% de la population étudiée. Toutefois, les auteurs de l'enquête soulignent que cela ne signifie pas que toute la population souffre de dégénérescence. Certaines altérations découvertes sont aussi présentes dans d'autres populations et sont propres aux populations européennes. Cependant, certaines altérations majeures sont spécifiques à la communauté étudiée. Ce serait le résultat d'un renfermenent de celle-ci et d'une volonté de préserver certains attributs tant matériels qu'abstraits. C'est ainsi que des mariages entre cousins permettaient d'une part des garder les terres cultivables, sources de richesses au sein de la même famille et d'autre part d'empêcher un étranger de rentrer dans cette communauté. Cette tendance fut vraie jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Pour autant, ces spécificités perdurent de nos jours puisque ce schéma consanguin est ancré depuis plusieurs siècles dans toute la région et l'ouverture auprès d'une souche biogénétique différente reste un probléme sociologique de l'ouverture d'un individu sur l'étranger.
Furent retrouvées des caractéristiques génétiques propres aux populations d'Afrique du Nord qui ont ensuite mutées caractérisant la population locale. L'explication de cette présence vient du fait que des populations Nord-Africaines pénétrent dans le territoire au cours de l'Histoire de France, par exemple au VIIIe siècle.
Ces résultats sur la consanguinité contrarièrent certaines personnalités des Hautes-Pyrénées. L'une d'entres elles, par l'intermédiaire du quotidien Midi Pyrénées en janvier 2006, dit que 'si on donne de la drogue à un imbécile, ce dernier rédigera un papier scientifique de ce genre'.
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