kukrapoc_bazza
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au fond de ma grotte, là où je campe
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Re: petite devinette
Publié:
3 août 2003 21:15
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Le ciel était orageux ce jour là. Le voilier, l'Eclipse voguait habillement entre les vagues de la mer agitée. Les mouettes volaient, décrivants de grands cercles.
Le capitaine John O'Sullivan se trouvait dans sa cabine. Il buvait une de ses bouteilles de rhum en marmonant une vieille chanson qu'il avait appris dans un bar, avant de quitter le port dee Chister.
"Boit au goulot la bouteille de rhum, et bois la d'un coup si t'es un homme, on finira pendu haut et court, à nous l'or, à nous l'amour! Demain le diable nous emportera, au bout d'une corded, on dansera, en attendant si tu es un homme, vide la bouteille de rhum!"
Soudain, la tempête se leva, la pluie tombait tellement qu'on aurait pu penser que l'océan était relié au ciel par des colonnes d'eau. Le capitaine sorti de sa cabine, affolé. Il ordonna à son fidèle matelot Thomas Livestown de déployer cordes et voiles. Celui ci réussi à maintenir le bateau. La pluie se calmait, le vent ne soufflait que par raffale, l'eau se calmait...
Mais, Thomas, bien que fidèle depuis longtemps à son capitaine, ne supportait plus le comportement de ce dernier. Il se decida à agir...
Il pris une lamme, et la dirigea vers le cou du capitaine. D'un coup ferme et rapide, il planta son couteau dans la joue du capitaine. Celui ci, surpris, pris son épée avec sa main droite, et trancha d'un geste net, la tête de son matelot.
Le ciel était bleu. Le soleil brillait. Le voilier, allait au milieu de la mer. Sur le bateau, il n'y avait plus de bruit. Un corps gisait. Celui du capitaine O'Sullivan. Sa tête, ballafré à la joue, gisait a quelques mètres...
Une goellette se dirigeait vers le bateau qui semblait abandonné. L'équipage se décida à visiter les lieux. Les nouveaux venus découvrirent la dépouille du marin. Ils ne trouverent rien d'autre. On se demanda ce qu'il s'etait passé à bord, mais on ne trouva pas de réponse.
Mais, alors qu'ils allaient s'en aller, un marin de la goellette dit: "Je connais ce marin. Je l'ai connu à Chister. Et je sais ce qu'il s'est passé ici sur ce navire". Les autres, interloqués, ne disaient rien. L'homme continua: "C'est un suicide messieurs. Lorsque je l'ai vu au bar, il parlait tout seul. Il se donnait des ordres. J'ai tout de suite vu qu'il avait un dédoublement de personnalité..."
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